SPAZIO REALE:DOTT.CIANCIMINO/26

-DALLO SCHERZO AL DRAMMA IN 3 PUNTI:
.
-PUNTO 1:HO INIZIATO A INTERESSARMI SU QUESTO ARGOMENTO QUASI CHE PER CASO E IN MODO PIU TOSTO SCHERZOSO CON UNO SCRITTO SUL MIO BLOG DEI “FATTI INTERNI” CON MOTIVO DI UNA NOTA SU SESSISMO NELLA SILICON VALLEY.VEDI LO SCRITTO:

*28 MARZO 2015:FEMMINISMO NELLA SILICON VALLEY,LA ELLEN PAO NON E’ STATA MIRACOLATA
.
BBCNEWS
Ellen Pao perde caso sessismo contro Silicon Valley azienda

8 marzo 2015

Dalla sezione USA e Canada
Una giuria della California ha scoperto che una società di venture
capital non discriminare un partner di sesso femminile in un caso
strettamente sorvegliati in Silicon Valley.Ellen Pao ha sostenuto che
perso su promozioni a Kleiner Perkins Caufield e Byers a causa del suo
genere.Ms Pao, ora un esecutivo con il sito web Reddit, dice che è stato
respinto dopo aver accusato.L’azienda ha detto che le sue decisioni
erano basate sulla sua performance.Il caso ha attirato l’attenzione di
una mancanza di diversità di genere nel settore della tecnologia –
soprattutto tra i suoi top manager.Società di venture capital sono una
fonte principale di finanziamento per molte start-up della Silicon
Valley. Kleiner Perkins – come è comunemente noto – ha investito in
aziende tra cui Snapchat, Spotify, Uber, Twitter, e Google.Oltre ai
danni punitivi, la signora Pao è stato anche cercando $ 16m (£ 10.7m) a
titolo di risarcimento per la perdita del salario.Durante gli argomenti
di chiusura, giurati sentito storie in conflitto di mandato della sig.ra
Pao presso lo studio.
John Doerr, uno dei venture capitalist dell'impresa, sul palco con Steve Jobs di Apple nel 2008

John Doerr (a destra), uno dei venture capitalist dell’impresa, sul palco con Steve Jobs di Apple nel 2008

.
I suoi avvocati suo ritratto come un partner minore di successo che è
stato discriminato perché la società giudica gli uomini e le donne in
modo diverso.
L’avvocato della sig.ra Pao, Alan Exelrod, ha detto che due dei suoi
colleghi maschi era stato promosso, nonostante il fatto che uno si
chiamava conflittuale e l’altro è stato accusato di avere “gomiti
appuntiti” – un apparente riferimento al suo atteggiamento verso gli
altri lavoratori.
Team legale della società ha detto la sig.ra Pao è stato un
investitore fallito e citato in giudizio per ottenere un grande vincita
mentre veniva spinto fuori.
Dicevano che era una persona difficile con cui lavorare e aveva una
storia di conflitti con i colleghi, i quali hanno contribuito alla
decisione di licenziarla.
Uno studio dato come prova durante il processo, ha detto che le donne
sono largamente sottorappresentate nelle migliori ruoli nel settore del
venture capital.
Investitore e imprenditore californiano Eric Ries ha detto alla BBC
il più ampio problema della discriminazione tra i sessi in Silicon
Valley è ben documentato, ma può essere involontaria.
“Silicon Valley aspira ad essere una meritocrazia in modo da avere
una cultura che valorizza outsider e le prospettive che ne derivano, e
c’è questa idea che le buone idee possono provenire da qualsiasi parte …
questa è la nostra aspirazione, ma la realtà è per molti versi cadiamo
breve , “ha detto.
-APPENDICE:RIVOLTA FEMMINISTA NEL GALLINARO HIGH TECH,FUOCO AMICO
.
-SU LE MONDE,Amériques:
Ellen Pao n’a pas été victime de discrimination sexuelle, selon le verdict des jurés
Le Monde.fr | 28.03.2015 à 06h01,Mis à jour le 28.03.2015 à 16h19 | Par Corine Lesnes

image:
http://s2.lemde.fr/image/2015/03/28/534×0/4603127_6_5f7d_ellen-pao-et-son-avocate-therese-lawless-le-27_7e8895acca2682210eabd2b9fea37b1d.jEllen Pao et son avocate Therese Lawless, le 27 mars.

Après 24 jours d’audience, et une vingtaine d’heures de délibération
les jurés de la Cour supérieure de San Francisco ont décidé qu’Ellen
Pao, associée chez Kleiner Perkins Caufield and Byers, l’une des
principales firmes américaines de capital-risque, n’avait pas été
victime de discrimination sexuelle lorsqu’elle s’est vue refuser une
promotion, puis a été licenciée en 2012.
Le verdict a représenté une déception pour les féministes, qui
avaient fait du procès un emblème du sexisme de la Silicon Valley. Mais
Ellen Pao qui, au fil des audiences, s’était posée en porte-drapeau de
la cause des minorités dans la high-tech, a estimé que son histoire
avait été entendue : « Si j’ai contribué à aplanir le terrain pour les femmes et les minorités dans le capital-risque, a-t-elle estimé, la bataille en valait la peine. »
Les jurés – six hommes et six femmes – n’ont pas adhéré à la lecture sexiste de la plainte de Mme
Pao, 45 ans, la fille d’immigrants chinois, diplômée d’ingénierie et
titulaire d’un MBA de Harvard. Celle-ci avait décrit comment, chez
Kleiner Perkins, les femmes étaient reléguées en bout de table dans les
réunions, exclues de certains événements avec les clients, et comment
elle avait été ignorée au profit de collègues masculins lorsqu’il
s’était agi de promotion.
Le jury ne s’est pas estimé comptable des préjugés sexistes. Il a
considéré qu’Ellen Pao n’était elle-même pas exempte d’ambiguïtés.
L’avocate de Kleiner Perkins, Lynne Hermle, a stigmatisé l’« esprit de vengeance » de l’ex-associée, notant qu’elle n’avait porté ses accusations qu’après avoir été écartée des promotions au poste de « senior partner ». Elle a affirmé que Mme
Pao surestimait beaucoup ses capacités et que les femmes représentent
20 % chez Kleiner Perkins, soit trois fois plus que la moyenne dans le
secteur du capital-risque. Un rattrapage qui ne trompe pas, a rétorqué
l’avocate de la plaignante, Therese Lawless. Avant 2011, il n’y avait eu
qu’une seule femme promue au rang de « partenaire senior » dans la compagnie en 42 ans d’existence.

Procès emblématique

Le procès a divisé la Silicon Valley. Certains, dont nombre de femmes, ont estimé que Mme
Pao avait commis la faute numéro un dans sa position : sortir avec un
de ses collègues, marié qui plus est. L’ex-associée, qui est aujourd’hui
la PDG par interim du site participatif Reddit, n’a pas nié qu’elle
avait eu une brève liaison avec ce cadre, qui, a-t-elle affirmé, lui
avait annoncé avoir quitté son épouse (il a été ensuite congédié pour
avoir poursuivi une autre employée).
Mme Pao s’est, elle, mariée ensuite à un manager de hedge
fund new-yorkais, Buddy Fletcher, un Afro-Américain dont la personnalité
– et la déroute financière – ont plané au-dessus des audiences.
Fletcher n’a pas hésité en 2011 à poursuivre pour discrimination raciale
la copropriété du Dakota, l’un des immeubles-symbole de New York (et
ex-résidence de John Lennon), affirmant qu’elle lui avait refusé l’achat
d’un appartement.
Ellen Pao semble en tout cas avoir fait école. Deux nouvelles
plaintes ont été enregistrées contre des entreprises de la tech,
impliquant deux autres femmes d’origine asiatique. Une ancienne manager
de Facebook, Chia Hong, a porté plainte pour discrimination sexuelle et
raciale. Mais c’est surtout le cas de l’ancienne ingénieur en logiciels
de Twitter Tina Huang qui paraît prometteur aux féministes. Dans sa
plainte, Mme Huang affirme que l’approche de la compagnie créée de fait « un plafond de verre »
auquel se heurtent les femmes. En effet, il n’existe ni critères
publics de promotion ni publicité autour des postes disponibles ou
politique de recrutement interne explicite. Chez Twitter, seuls 10 % des
postes techniques sont occupés par des femmes (contre une moyenne de 20
% dans les firmes technologiques). Selon la plainte, sept seulement des
164 ingénieurs de haut niveau étaient des femmes en 2014, lorsqu’elle a
quitté l’entreprise après cinq ans. Twitter a démenti l’avoir licenciée
lorsqu’elle s’est plainte au PDG Dick Costolo.
Une anecdote a montré la sensibilité qui entoure actuellement le
sujet des femmes dans la tech. Intervenant mi-mars au forum South by
Southwest d’Austin, en compagnie de Megan Smith, la responsable des
technologies de l’administration Obama, le PDG de Google, Eric Schmidt, a
été pris à partie par une femme qui se trouvait dans l’assistance. «
Etant donné que les recherches sur les préjugés inconscients ont révélé
que les femmes sont beaucoup plus souvent interrompues que les hommes,
je me demande si vous êtes conscient du nombre de fois où vous avez
interrompu Megan »
, a-t-elle lancé. Les applaudissements ont été
nourris. Et la séquence a vite pris rang de morceau d’anthologie sur les
réseaux sociaux quand l’identité de la redresseuse de torts a été
connue. C’était Judith Williams, la responsable du programme de
sensibilisation aux préjugés chez… Google.
 Corine Lesnes
Correspondante du Monde aux Etats-Unis basée à San Francisco

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2015/03/28/ellen-pao-n-a-pas-ete-victime-de-discrimination-sexuelle-selon-le-verdict-des-jures_4603126_3222.html

.
REAZIONE:MA QUALE SESSISMO?SESSISMO CAMPATO PER ARIA.
POSIZIONI INCROCIATI,FUOCO AMICO:LA RINGRAZIO A JUDITH WILLIAMS
PERO IO CREDO ALLA PARITA DI SESSO E NON ALLA DISCRIMINAZIONE POSITIVA.
——————-
-PUNTO 2:PERO ILGIORNO DOPO MI SONO TROVATO SUL THE WASHINGTON TIMES CON UNA NOTA SULL’ARGOMENTO DEL TITOLO CHE SE ANCHE ERA UN POCO SCHERZOSA NON AVEVA NULA DA SCHERZARE POICHE ACUSAVA GOOGLE DI ABUSO DI POSIZIONE DOMINANTE PER VIA DEI RAPPPORTI POLITICI FRA SMITH E OBAMA.E HO SCRITTO SU QUELLA NOTA IL MIO PARERE IN FORMA DI “APPENDICE” ALLA NOTA SUL FEMMINISMO NEL HIGH TECH DI SOPRA.VEDI:

-APPENDICE:QUESTO NON E’ NUOVA ERA

-SU THE WASHINGTON TIMES:Lifting sulle coopertine di ‘Obamoogle’

Una inchiesta antitrust e’ andata via mentre Google si rannicchiava con Obama

By Tammy Bruce – – Lunedi, March 30, 2015

Durante questa settimana passata mentre siamo stati sommersi con le
cattive notizie che uscivano da ogni angolo del globo, non sarebbe
sorprendente se vi siete persi una delle rivelazioni più sconvolgenti
sulle azioni della Casa Bianca che avrebbero fatto arosire anche Richard
Nixon.
Il Wall Street Journal ha rivelato che aveva ottenuto un rapporto
dettagliato del 2012 della Federal Trade Commissionla sulla vicinanza di
Google e l’amministrazione Obama, mentre la FTC è stata impegnata in
una indagine antitrust del gigante di Internet.
Di solito è il caso che si ottiengono le informazioni più
interessanti quando i dettagli dovevano rimanere segrete, e questo è il
caso qui. La FTC , rispondendo a una richiesta open-record,
accidentalmente ha inviato 160 pagine di una relazione privata 2.012 al
The Wall Street Journal , specificando le indagini antitrust in Google .
Ciò che è stato divulgato dipinge un quadro di attività insolite tra
la Casa Bianca , Google e la FTC mentre l’indagine antitrust è stata
condotta. In ultima analisi lo staff del la FTC consiglia portare una
causa contro Google per motivi di antitrust. Nonostante questo, la
commissione ha votato 5-0 contro le accuse.
La maggior parte dei titoli si concentrano sul numero di visite dei
dirigenti e lobbisti di Google alla Casa Bianca durante l’inchiesta.
Anche il giornale nella sua copertura ha catalogato gli eventi come un
“segno della portata del gigante di Internet a Washington” che implica
che l’accesso a Obama alla Casa Bianca è una sorta di un sottoprodotto
di influenza globale.
Ma in questo caso si sta ponendo il carrello ben prima del cavallo.
Da quando il presidente Obama è entrato in carica, The Wall Street
Journal riporta, dipendenti di Google “hanno visitato la Casa Bianca per
le riunioni con alti funzionari circa 230 volte, o una media di circa
una volta alla settimana. “Dei Top lobbisti di Google hanno avuto più di
60 incontri alla Casa Bianca . Questo è più incontri che la maggior
parte di Mr. Obama con i membri del Gabinetto.
Per gli osservatori della Casa Bianca  niente di tutto questo
dovrebbe essere una sorpresa. Una delle persone in piedi accanto a Mr.
Obama nella sua prima conferenza stampa dopo aver vinto le elezioni
presidenziali del 2008 è stato Eric Schmidt, il presidente esecutivo di
Google . Mentre il signor Schmidt non è registrato come donante alla
campagna di Obama , riporta la National Public Radio, “la moglie di Eric
Schmidt, Wendy, ha dato alla campagne di Obama 47,600 dollari. E Wendy
Schmidt e’ dietro la precoce carriera politica di Obama donando 2.000
dollari a la sua corsa al Senato nel 2004. ”
Ma alcuni contributi sono inestimabili e sottolineano la natura
dell’impegno verso Mr. Obama da qualcuna compaagnia. La notte delle
elezioni di novembre 2012, il signor Schmidt ha gestito personalmente il
software elettore-partecipazione personalizzato per Mr. Obama . Entro
la fine del mese elettorale, il Wall Street Journal riporta, la FTC ha
deciso di non sporgere denuncia contro Google .
Durante la campagna del 2012 per la
rielezione,i dipendenti di  Google erano la seconda più grande fonte di
donazioni per la campagna di Obama, riporta il visitatore quotidiano.
Forse Google dovrebbe solo cambiare il suo nome in Obamoogle, ma non
sarebbe la prima volta che una società corre in favore di
un’amministrazione. Tra lobbisti e donazioni politiche, e anche rapporti
di lunga data, gli americani hanno visto come alcune aziende riescono a
garantire più favoriti rapporti di Stato con i presidenti e le loro
amministrazioni.
Chi può dimenticare le crisi isteriche della sinistra, lamentando il
rapporto tra Halliburton e George W. Bush alla Casa Bianca ? Eppure, non
ci sono lamentele da sinistra sulla crescente dipendenza di Mr. Obama
con  Google e la sua straordinaria facilita di accesso alla sua
amministrazione. In realtà, alcuni liberali, tra cui quello con cui
apparso Fox News su questo argomento,hanno spiegate questo come nulla di
nuovo, succede tutto il tempo, ed è solo il modo in cui Washington
lavora.
Beh, non proprio. Questo è del tutto diverso. Relazioni speciali sono
una cosa, e lavorare direttamente nella campagna per la rielezione del
presidente solo per avere un ente federale a mano per una causa federale
nello stesso mese è un’altra.
Tutte le parti, naturalmente, negano che una delle attività tra
Google e la Casa Bianca aveva nulla a che fare con la decisione della
FTC di non citare in giudizio l’azienda. Allo stesso tempo, l’agenzia
rifiuta di rilasciare il resto del rapporto che è stato accidentalmente
inviato al Wall Street Journal . Anche con questo quadro incompleto, gli
americani dovrebbero essere estremamente preoccupati per l’aspetto che
se si aiuta Barack Obama con ciò che vuole, lo Stato di diritto si
piega, o anche crolla per voi.
Questa rivelazione circa l’intensità della Obama- Google fusione
aiuta anche a spiegare la determinazione della Federal Communications
Commission per regolamentare Internet con il pretesto di “neutralità
della rete”. I grandi vincitori di questa azione? I sostenitori Google
di Obama(tramite YouTube) e Netflix, che ora consumano almeno il 50 per
cento della larghezza di banda Internet.
Google è stato letteralmente accanto a  Mr. Obama dall’inizio della
sua presidenza. Ora sono i beneficiari della politica
dell’amministrazione. In questi giorni sul fronte interno e
internazionale, sta diventando sempre più difficile da determinare per
quali Mr. Obama lavora.
* Tammy Bruce è un talk-show radiofonico, autore e Fox News collaboratore.
.
REAZIONE:APPARTHEID
CREDO CHE NON C’E’ BISOGNO PER CHI HA LETTO QUESTE MIE
PUBBLICAZIONI DI CHIARIRE CHE QUESTO NULLA C’ENTRA CON LA NUOVA ERA MA
SOLO CON LO SFRUTTAMENTO DEI SUOI BENEFICI CHE HO COMBATTUTO
ACCANITAMENTE.
IL SIGNOR SMITH DALTRONDE COME SI SA E’ STATO SEPARATO DELLA PARTE
SCIENTIFICO-TECNICO-CONCETTUALE DI GOOGLE E E LO SI HA NOMINATO IN UNA
CARICA “POLITICO-ECONOMICA”.LE MIE DIFFERENZE CON LUI E CON OBAMA SONO
PIU CHE NOTE,UN VERO MURO FRA DI LORO E LA NUOVA ERA,E E MI RISPARMIA
ABBONDARE SU QUESTO.E CI TENGO A SOTTOLINEARLO.
——————————-
-PUNTO 3:E POI,IL GIORNO DOPO QUESTO SCRITTO MI SONO TROVATO SUL GIORNALE FRANCESE “LE MONDE” CON DUE NOTE CHE,ORA SI,LONTANO DALLO SCHERZO AVEVANO PER ME TONI ASSAI DRAMATICI E HO FATTO UN’ALTRO SCRITTO AL RIGUARDO.VEDILO:

5 APRILE 2015:IO VITTIMA DI PRESSIONI PER PARTE DELLA PPUBBLICITA DI GOOGLE,PORTATO A PROCESSO IN FRANCIA E USA
.
INTRODUZIONE:VEDI DI SEGUITO DUE NOTE STAMPA SU LE MONDE E DOPO IL MIO COMMENTO:
.
1-SU LE MONDE,Pixels
Un nouveau front s’ouvre contre Google en France
LE MONDE ECONOMIE | 04.04.2015 à 10h26, Mis à jour le 04.04.2015 à 10h28 | Par Anne Eveno

De l'autre côté de l'Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le droit de la consommation  sur l’abandon d’une enquête pour anticoncurrence qui visait Google en 2012.

Les feux se concentrent sur Google. Cette fois, l’offensive part du
Palais du Luxembourg. Plusieurs sénateurs ont déposé, jeudi 2 avril, un
amendement au projet de loi Macron pour la croissance, l’activité et
l’égalité des chances économiques, dont l’examen aura lieu la semaine
prochaine. Les auteurs, tous élus de l’opposition – Catherine
Morin-Desailly (UDI-UC, Seine-Maritime), Bruno Retailleau (UMP, Vendée),
Jean Bizet (UMP, Manche), Jean-Claude Lenoir (UMP, Orne) et Chantal
Jouanno (UDI-UC, Paris) –, estiment urgent de se donner les moyens d’encadrer les pratiques des moteurs de recherche : « Cet objectif passe par la mise en place d’une régulation ex ante [au préalable] », expliquent-ils dans l’exposé des motifs de l’amendement.
S’ils ne nomment pas Google explicitement dans le texte, c’est bien
le géant américain qui est dans le collimateur des parlementaires. « Nous
avons la conviction que Google favorise ses propres services et nous
estimons qu’il faut réguler cette situation, sinon les autres
entreprises ne peuvent se développer »,
explique au Monde Catherine Morin-Desailly.
L’initiative sénatoriale – qualifiée de « première mondiale »
par ses promoteurs – intervient dans un moment particulier pour Google,
qui détient sur le marché de la recherche sur Internet une part
ultra-dominante, 77 % aux Etats-Unis et plus de 90 % en Europe. De
l’autre côté de l’Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir
entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le
droit de la consommation…

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image:
http://s1.lemde.fr/image/2015/04/04/92×61/4609718_7_c72b_de-l-autre-cote-de-l-atlantique-un-senateur_c1bba49bc0ac76608bafd725d18d2e7b.jpg
De l'autre côté de l'Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le droit de la consommation  sur l’abandon d’une enquête pour anticoncurrence qui visait Google en 2012.

Un nouveau front s’ouvre contre Google en France

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http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/04/04/un-nouveau-front-s-ouvre-pour-google_4609720_4408996.html

——-
-NOTA 2:
Économie
Le Sénat américain va enquêter sur Google
Le Monde.fr | 31.03.2015 à 08h21,Mis à jour le 31.03.2015 à 10h10 | Par Corine Lesnes (San Francisco, correspondante)
La commission sénatoriale veut en savoir plus sur les contacts entre Google et l’administration Obama pour établir si celle-ci a aidé la firme à éviter les sanctions en faisant pression sur la FTC, l’agence fédérale chargée de la défense des consommateurs.
Le Sénat américain va se pencher sur les pratiques de Google, et sur
les conditions dans lesquelles le moteur de recherche a été blanchi,
en 2013, des accusations d’abus de position dominante par la FTC,
l’agence fédérale chargée de la défense des consommateurs.
Le 20 mars, le Wall Street Journal avait révélé que les
commissaires de la FTC avaient décidé de classer le dossier, alors que
les experts de sa division de la concurrence avaient recommandé
d’engager des poursuites. Le quotidien avait eu accès à un rapport
préliminaire, qui n’aurait pas dû être rendu public mais qu’il avait
obtenu dans le cadre d’une requête invoquant la loi sur la liberté de
l’information.
Lire aussi : Révélations sur les drôles de pratiques de Google
Ce rapport, daté de 2012, concluait que le géant de Mountain View
favorisait ses propres services dans ses référencements, qu’il copiait
les données de ses concurrents, comme Yelp ou Tripadvisor, et exerçait
des pressions sur les annonceurs pour qu’ils choisissent sa propre régie
publicitaire, AdWords.
Le sénateur républicain de l’Utah, Mike Lee, qui préside le comité
anti-trust de la commission des lois du Sénat, a indiqué, lundi 30 mars,
au National Journal, qu’il s’intéresse aux différents aspects du dossier : « Comment
la FTC a-t-elle pu laisser filtrer un rapport confidentiel, et quelles
conversations, le cas échéant, la FTC ou Google ont-ils eues avec la
Maison Blanche sur les investigations en cours ? »

230 visites à la Maison Blanche

Il ne s’agit pas, dans l’immédiat, d’enquêter sur le fond de
l’affaire elle-même, à savoir la plainte pour abus de position dominante
portée par Microsoft et d’autres concurrents de Google, a précisé le
sénateur. L’élu républicain souhaite en savoir plus sur les contacts
entre Google et l’administration Obama pour établir si celle-ci a aidé
la firme à éviter les sanctions en faisant pression sur la FTC, agence
statutairement indépendante.
La semaine dernière, le Wall Street Journal a révélé que des
employés de Google avaient été reçus quelque 230 fois à la Maison
Blanche depuis l’élection de Barack Obama en 2008, soit une fois par
semaine en moyenne. Le PDG de Google, Eric Schmidt a soutenu M. Obama
depuis les débuts et il a joué le rôle de conseiller informel auprès du
président.
Google a réagi au décompte du Wall Street Journal par la
voix de sa vice-présidente pour les communications, Rachel Whetstone.
Celle-ci a affirmé qu’il n’avait en aucun cas été question de la plainte
portée devant la FTC dans les conversations des employés de la firme à
la Maison Blanche.
 Corine Lesnes (San Francisco, correspondante)
Correspondante du Monde aux Etats-Unis basée à San Francisco
.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/03/31/le-senat-americain-va-enqueter-sur-google_4606211_3234.html
.
COMMENTO:IO HO SUBITO UNA GRAVE PRESSIONE PER PARTE DI GOOGLE A SCOPO
DI NON SMETTERE DI FARE PUBBLICITA IN ADSENSE E ADWORD.MI E’ STATO
IMPEDITO DI CANCELLARE IL MIO ACCOUNT,INATTIVO INOLTRE DA MOLTI
ANNI,MALGRADO LA PROCEDURA SIA PREVISTA NEL CONTRATTO AL MOMENTO DI
APRIRE L’ACCOUNT.CONCRETAMENTE IL MIO ACOUNT E’ STATO APERTO IN
URUGUAY,SUDAMERICA,DOPO NEL 2012 MI SONO TRANSFERITO IN ITALIA E AL
MOMENTO DI CAMBIARE LA SEDE DELL’ACCOUNT MO E’ STATO IMPEDITO:COSA
DOVEVO FARE,RITORNARE IN URUGUAY?SI,QUESTO HO DOVUTO FARE E PURTROPPO
ANCORA NON MI E’ STATO CANCELLATO L’ACCOUNT.TALMENTE GRAVE E’
L’INFRAZIONE E VIOLAZIONE DI GOOGLE DELLE SUE PROPIE NORMATIVE.
DI SEGUITO VI FACCIO VEDERE LA DENUNCIA PUBBLICATA DAL 2012 IN UN DOCUMENTO PUBBLICO RIPORTATO IN UN LINK DI UN MIO BLOG:
A-CLICCA PER VEDERE IL BLOG:
http://cianciminotortorici.blogspot.com/?mkt=it-it
-DOPO CLICCA SUL LINK INTITOLATO:
EPILOGO:RIASSUNTO DI EBAY E MERCADO LIBRE(PIU ANEXO PUBBLICITA)
-O CLICCA QUI L’INDIRIZZO PER VEDERE DIRETTAMENTE IL DOCUMENTO PUBBLICO:

VORREI DISTACCARE CHE L’ACCUSA NULLA TOGLIE ALL’AVANGUARDIA DI GOOGLE
DELLA NUOVA ERA IN QUANTO E’ INDIRIZZATA AL MOTORE DI RICERCA DI QUI
QUELLA NON FA PARTE.L’ACCUSA INSOMMA NON E’ ALLA PARTE
TECNICA,SCIENTIFICA E CONCETTUALE DELLA NUOVA ERA ADOTATTA DA GOOGLE MA
AL SUO MOTORE DI RICERCA E ALLA GESTIONE IMPRESARIALE ED ECONOMICA
PRESIEDUTA DA ERIC SMITH.

-VEDI TUTTI QUESTI SCRITTI DIRETTAMENTE SUL MIO BLOG DEI “FATTI INTERNI”:

http://dottgiuseppeciancimino.bloog.it/faites-internes-1continuation-198.html

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-E COSI SU “LA STAMPA” DI ITALIA:
https://i0.wp.com/www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif

tecnologia
Google e Antitrust Usa: tattiche monopoliste denunciate nel 2012, spunta il rapporto

Ma la Federal Trade Commission decise di non procedere. L’azienda:
“Le speculazioni su potenziali danni a concorrenti e consumatori si sono
rivelate totalmente sbagliate”
WASHINGTON
La Federal Trade Commission degli Stati Uniti aveva concluso nel
2012 che Google usava tattiche anticompetitive e abusava dei suo status
di monopolio, ad esempio privilegiando nei risultati delle ricerche link
e indicazioni che portassero ai suoi stessi servizi. È uno dei giudizi
più duri finora espresso sul comportamento di Google, rivela il

Wall Street Journal,
sottolineando tuttavia che la Commissione decise all’unanimità
di non procedere oltre dopo che Google aveva acconsentito a operare
alcuni cambiamenti. L’indagine ha richiesto 19 mesi e analizzato 9
milioni di pagine di documenti, oltre a svariate ore di testimonianze.

Si tratta comunque, scrive il giornale, di uno dei documenti più
severi sull’argomento e che avrebbe potuto innescare un caso legale di
alto profilo, paragonabile alla causa lanciata dal dipartimento di
Giustizia contro Microsoft negli anni ’90.

Dalla documentazione della FTC emergerebbe che il comportamento di
Google era dannoso sia per gli utenti online, sia sul piano
dell’innovazione per quanto riguarda i mercati della ricerca del
marketing online.
Google replica così: “Speculazioni su potenziali danni a concorrenti e
consumatori si sono rivelate totalmente sbagliate. Da quando l’indagine
si è conclusa due anni fa, le modalità in cui le persone accedono
all’informazione online sono cresciute in maniera sostanziale, offrendo
ai consumatori una possibilità di scelta più ampia che mai. E i nostri
concorrenti stanno prosperando. Per esempio, Yelp si definisce il motore
de facto per le ricerche locali e ha fatto registrare una crescita dei
ricavi del 350% negli ultimi 4 anni. TripAdvisor dichiara di essere il
più grande marchio travel del mondo web e ha quasi raddoppiato i suoi
ricavi negli ultimi 4 anni”.

http://www.lastampa.it/2015/03/25/tecnologia/google-e-antitrust-usa-tattiche-dannose-denunciate-nel-spunta-il-rapporto-voXbPZGNyu4ml3kJs9EksI/pagina.html

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-ATTUALIZAZZIONI CHE COMPLETANO IL PANORAMA INFORMATIVO:

SULL’ARGOMENO OLTRE A USA E FRANCIA SI OCCUPA ANCHE  L’UNIONE EUROPEA.C’E’ MOLTISSIMA LETTERATURA GIORNALISTICA AL RIGUARDO.IO HO SCELTO ALCUNE NOTE SU “LA STAMPA”  SOLTANTO PERCHE SONO QUELLE CHE MI SONO CAPITATE PER PRIMA:
-NOTA A:
 https://i0.wp.com/www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif

tecnologia

“L’Antitrust Ue pronta ad aprire una procedura contro Google”

La notizia è stata pubblicata sul Wall Street Journal. Sulla questione era intervenuto anche il presidente americano Obama
francesco zaffarano
Tra poche settimane l’antitrust europea potrebbe aprire una
procedura contro Google. È la notizia con cui questa mattina apre il
Wall Street Journal, citando alcune fonti secondo le quali la
Commissione europea avrebbe chiesto alle aziende che hanno denunciato
Google il permesso di pubblicare alcune informazioni depositate
inizialmente in via confidenziale.

Il provvedimento contro Google sarebbe il più grosso da quello
intentato ai danni di Microsoft, che enl 2012 ha pagato all’Unione
Europea 1,7 miliardi di euro di multe.

La notizia riportata dal Wall Street Journal, però, potrebbe
diventare un caso anche a livello politico. Neanche un mese fa, infatti,
il presidente americano Barack Obama era intervenuto sulla questione
(su cui in Europa si dibatte da anni), accusando il vecchio continente
di non saper stare alle regole del mercato: «Gli Stati Uniti hanno
creato e perfezionato Internet – aveva detto Obama – mentre voi sapete
solo tassare».

http://www.lastampa.it/2015/04/02/tecnologia/lantitrust-ue-pronta-ad-aprire-una-procedura-contro-google-fMtfiZV70JfjW8DSVGnDbK/pagina.html

 ——————————————————–
-NOTA B: 

https://i0.wp.com/www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif

economia

L’Antitrust europea pronta a multare Google

La decisione il 15 aprile. Facebook nel mirino per violazioni della privacy

Mountain View (California), il quartier generale di Google

marco zatterin
corrispondente da bruxelles
Gli uomini dell’Antitrust europeo non commentano e non è una
sorpresa. Davanti alla notizia rimbalzata dall’America secondo cui la
Commissione Ue sarebbe entrata nell’ultima fase dell’inchiesta per abuso
di posizione dominante contro Google, i portavoce rispondono che
«l’indagine è in corso e non c’è nulla da dire». Il Wall Street Journal ha scritto che il contenzioso sarebbe sul punto di maturare e
una decisione, con possibile multa annessa, sarebbe prossima. «È la
foto attuale del caso», conferma una fonte Ue. Il collegio, aggiunge,
potrebbe esaminare il dossier in aprile: «Forse già nella riunione del
15, ma dipende come procederanno i contatti nei prossimi giorni».

La multinazionale di Mountain View rischia grosso. Tre anni fa
Microsoft si è guadagnata una sanzione da 1,8 miliardi di dollari per
non aver dato agli utenti di Windows una reale libertà di scelta sul
browser per Internet. La presunta colpa che vede Google sotto inchiesta
da 5 anni sarebbe in questo caso triplice: avrebbe utilizzato contenuti
di aziende concorrenti e no spacciandoli per propri; avrebbe fatto
apparire nelle ricerche le cose di casa rispetto alle altre; avrebbe
tratto vantaggi sfruttando la sue posizione dominante. Gli interessati,
naturalmente, negano. L’approssimarsi della fine, secondo le
indiscrezioni, sarebbe segnalata dal fatto che la Commissione Ue avrebbe
chiesto alle aziende che hanno denunciato Google il permesso di
pubblicare le informazioni depositate, dati e prove che inizialmente
avevano un carattere confidenziale. Secondo fonti industriali, alle
società sarebbe stato domandato di rispondere «in qualche giorno»,
indice dell’urgenza con cui Bruxelles intenderebbe avanzare.

Google ha un contenzioso aperto anche sul diritto all’oblio che una
sentenza della Corte Ue del maggio scorso vuole sia garantito a chi lo
desidera. Lo scorso novembre l’Europarlamento ha approvato un parere non
vincolante secondo cui i motori di ricerca dovrebbero essere separati
dall’industria dei servizi, il che comporterebbe lo spezzatino di
Mountain View. «Per la questione Antitrust – spiegano comunque a
Bruxelles -, la Commissione cercherà un accomodamento, prima di agire in
modo punitivo». A metà mese la questione potrebbe essere chiarita.

Nel frattempo, si scopre dal Financial Times che anche la Apple
sarebbe finita sotto i riflettori dell’Ue che starebbe esaminando gli
accordi di Cupertino con le case discografiche finalizzati alla
diffusione dei brani sulla piattaforma iTunes: i colloqui avverrebbero
nell’ambito dell’inchiesta dei servizi musicali in streaming.
Rischia pure Facebook, sospettata di violare la privacy degli utenti.
Sei Paesi hanno lanciato un’inchiesta sulla regina dei social media,
con Francia, Spagna e Italia che si sarebbero unite all’azione già
avviata da Germania, Olanda e Belgio. Si vuole fare luce sulla gestione
dei dati personali di oltre 300 milioni di utenti continentali che
sarebbero intrecciati con quelli di Instagram e WhatsApp per affinare
l’invio di pubblicità. Galeotto sarebbe il «like» che si decreta per le
cose di proprio gusto. I garanti della Privacy pensano che possa non
essere solo un click fine a se stesso.
 http://www.lastampa.it/2015/04/03/economia/lue-pronta-a-multare-google-pHwlThO70CxKqio8bcHx1I/pagina.html

 ————————————————————–
-NOTA C:
 https://i0.wp.com/www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif

tecnologia

Obama e l’economia del web: “L’Europa ci combatte con le leggi perché non può competere sul mercato”

Il presidente americano attacca le proposte comunitarie su privacy e
trasparenza fiscale, ma Bruxelles puntualizza: le regole sono uguali
per tutte le imprese, sia nazionali che globali

Il presidente americano Barack Obama
marco zatterin
Corrispondente da Bruxelles
Barack Obama non crede alla buona fede dell’Antitrust a dodici
stelle che, da anni, tiene sotto osservazione i giganti americani del
pianeta Internet, Google, Facebook e Amazon. Bruxelles si muove per
comprendere le dinamiche che sovrintendono alla gestione dei miliardi e
miliardi di dati che i colossi della grande rete tengono nei loro
computer. È uno duello intenso, senza esclusione di colpi. La casa di
Mountain View si è persino rifiutata di dire alla Corte di Giustizia Ue
dove sono situati fisicamente i centri in cui immagazzina numeri,
indirizzi, gusti e ricerche. C’è chi dice che il coinvolgimento di
Google, insieme con Amazon, nell’inchiesta sui possibili aiuti di stati
ottenuti dal Fisco in Irlanda e Lussemburgo non sia casuale, ma solo
l’ennesima battaglia nella grande quella per il controllo del web.

Il presidente degli Stati Uniti ha qualche dubbio e non ha problemi
ad ammetterlo. «Talvolta la risposta europea è guidata più da intenti
commerciali che ad altro», ha affermato in una intervista concessa a Re/code
, una delle principali testate tecnologiche del globo terracqueo.
«Ci sono paesi come la Germania – ha spiegato – che alla luce del
passato con la Stasi (la polizia segreta della Germania Est, ndr) sono
molto sensibili alla questione della riservatezza». Tuttavia, ha
insistito, «qualche volta le loro aziende che non riescono a competere
con le nostre cercano semplicemente di alzare degli ostacoli per
impedirci di essere ben presenti sul mercati».

Un’azione ispirata dalla politica, dunque, una politica commerciale
di contenimento, cosa che viene seccamente negata dai portavoce della
Commissione. A Bruxelles si risponde che «l’idea che l’Ue cerchi di
proteggere le sue aziende non riflette la realtà», perché l’Europa si
batte per fare in modo che «tutti possano stare sul mercato con le
medesime regole». Il tutto, non senza qualche evidente fastidio e
difficoltà. Soprattutto per la dote straordinaria delle multinazionali
di profittare i buchi nei sistemi fiscali e usare l’Europa quasi come
fosse un paradiso fiscale. Colpa degli stati, certo. Perché le
istituzioni, potendo, sarebbero liete di archiviare le anomalie.

Il clima è cambiato. La «Google tax» antielusione da applicare sui
maggiori protagonisti del web annunciata in dicembre nel Regno Unito lo
conferma. Potrebbe essere un esempio per tutti. La Commissione europea
investiga da anni la possibilità che Google usi e abusi della sua
potenza per fare accordi di ricerca con le imprese. Ora il colosso si è
impegnato a modificare alcuni meccanismi. E’ un passo avanti che, però,
non ha ancora convinto del tutto i critici della motore di ricerca più
amato. Il parlamento europeo ha anche approvato un testo non vincolante
che suggerisce la possibilità che Google sia spacchettata, da un lato le
ricerche e dall’altro i servizi. Agli americani non è piaciuto.

Nel programma della nuova Commissione uscito prima di Natale si legge
che l’Europa intende rinegoziare le regole secondo le quali le
compagnie americane possono esportare i dati riservati e no dei
cittadini europei, ipotesi che sembra essere molto gradita dai
consumatori e clienti che vivono dalle nostre aperti. I governativi
americani assicurano che non ci sono rischi di irregolarità, ma è un
argomento che raccoglie relativi consensi. A Bruxelles si studia con
metodo come e quando intervenire.

Nel frattempo, si tende la mano. «Il nostro ruolo è quello di
garantire che le imprese che lavorano nel nostro continente giochino con
le stesse regole – ha spiegato un portavoce Ue -, non se ne può fare a
meno se si intende tutelare gli interessi dei cittadini». Al contempo,
si punta a incoraggiare le imprese a investire in un mercata da 500
milioni di consumatori, piuttosto che in ventotto paesi guidati da
regole diverse. Insomma, è la teoria, si lavora perché tutti siano
uguali come dice la Costituzione americana. Anche se, si scopre spesso,
certe multinazionali sono più uguali di altre.

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-NOTA D:
https://i0.wp.com/www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif
tecnologia
Google ci fa credere di essere più intelligenti di quello che siamo

Gli strumenti di ricerca via web causano confusione “tra ciò che
effettivamente si sa e ciò che si crede di sapere”. Lo afferma uno
studio della Yale University

carlo lavalle
Google fa credere alle persone di essere più intelligenti di
quanto non siano realmente. Sono le conclusioni cui giunge un’accurata indagine
condotta da tre ricercatori in psicologia della Yale University, pubblicata sul Journal of Experimental Psychology.

Avere a portata di mano Internet e i motori di ricerca può
determinare negli individui un’errata percezione della propria
conoscenza, sopravvalutando le proprie capacità – sostengono nel loro
studio Matthew Fisher, Mariel K. Goddu, e Frank C. Keil che hanno
sottoposto ad una serie di test con domande, diverse centinaia di
adulti, divisi in gruppi.

Di norma, il soggetto riesce a distinguere abbastanza chiaramente
quando un’informazione è presa da una fonte esterna, come un libro e un
esperto, o, invece, è frutto del suo sapere memorizzato.
Internet, che amplia in maniera potenzialmente infinita l’accesso
alla conoscenza, tende però a causare un effetto sistematico di
confusione “tra ciò che effettivamente si sa e ciò che si crede di
sapere”.

Nell’individuo, che si avvale di Google o Yahoo, si crea un’illusione
di sapere che lo porta a non essere più in grado di rendersi conto di
quanto il proprio conoscere derivi da sé stesso o dalla tecnologia
online. D’altro canto, tra chi ricorre agli strumenti via web è stata
anche riscontrata l’attitudine a pensare che i loro cervelli siano più
attivi rispetto ad altri che utilizzano metodi differenti.

La diffusione di smartphone e tablet può aggravare questo problema
mettendo a disposizione, ovunque e continuamente, la connessione a
Internet. A rischiare di più sono i bambini che crescono immersi in un
ambiente in cui è sempre possibile reperire informazioni online.

Ma, sovrastimare la propria conoscenza, secondo i ricercatori, può
comportare pericoli anche in campo politico e, in generale, in quei
settori dove si assumono decisioni ad alto livello. “In questi ambiti, –
sottolinea Matthew Fisher
– è importante essere consapevoli delle proprie conoscenze e non
presumere di sapere qualcosa che non si sa. Internet implica grandi
benefici ma può rendere ancora più difficile raggiungere l’obiettivo di
una conoscenza personale”. Risultato già di per sé non facile da
ottenere nella vita.

http://www.lastampa.it/2015/04/06/tecnologia/lillusione-di-essere-pi-intelligenti-grazie-a-google-ZazTPZRBVxQwHyw8KR7Q3J/pagina.html

COMMENTO FINALE:

IN PRINCIPIO IO HO VISTO LE PROCEDURE DELL’UNIONE EUROPEA CONTRO LE NUOVE TECNOLOGIE DELLE TELECOMUNICAZIONI COME UN ATTACO ALLA NUOVA ERA CHE NEL MEDESIMO TEMPO CERCAVA DI SFRUTTARE POLITICAMENTE A VANTAGGIO DI CERTE FIGURE POLITICHE E MI SONO NEGATO A DARE IL MIO CONSENSO A TALE PROCEDURE.COSI E’ STATO NEL CASO MICROSOFT NEI TEMPI CHE MONTI ERA IL COMMISARIO DELL’ANTITRUT EUROPEO,O NEL PROPIO CASO GOOGLE CON LO SPAGNOLO ALMUDIA AL SUO POSTO.
.
OGGI LA SITUAZIONE E’ CAMBIATA:DA UNA PARTE SONO VENUTI FUORI LE MANIPULAZIONI INTERNAZIONALI,E PARTICOLARMENTE IN EUROPA,DEL SISTEMA IMPOSTIVO CIO CHE EVIDENTEMENTE SIGNIFICA UNO SFRUTTAMENTO DEI BENEFICI ECONOMICI,E NON SOLO,A FAVORE DEL NEOLIBERALIMO PER PARTE DEL SIGNOR SMITH;DA UN’ALTRO CANTO CON IL PASSO DEL TEMPO E IL MUTAMENTO DELLE SITUAZIONI POLITICI IN DIVERSI STATI,A FAVORE DI CONTROLLARE QUESTA SITUAZIONE SI SONO SOMMATTO ALTRI PAESI E LA PROTESTA E DIVENTATA GENERALIZZATA IN EUROPA,E PER FINIRE PER ME LA COSA IMPORTANTE E’ STATA CHE NELLE INTENZIONI PUNITIVI DEI DIVERSI PAESI HA SPUNTATO LA SEPARAZIONE DELLA COSA AMMINISTRATIVA ED ECONOMICA DALLA PARTE SCIENTIFICO-TECNOLOGICA,E IN QUESTO SENSO ANCORA MEGLIO,LA SEPARAZIONE DEL MOTORE DI RICERCA SU QUI LA NUOVA ERA NON HA PARTE,DAGLI ASPETTI SCIENTIFICO-TECNICI E CONCETTUALI(FRA QUI LA VISIONE DEL MONDO SENZA LA QUALE OGGI GLOBALMENTE NULLA SI CREA,SI FABRICA O SI VENDE),NON TOCCANDO ALLORA IL MIDOLLO DELLA NUOVA ERA PRESENTE NEI GIGANTI DELLE TELECOMUNICAZIONI.E ALLORA SI,PURE MANTENENDOMI SCETTICO SULLE PROCEDURE ANTITRUST DELL’UNIONE EUROPEA,E CONTRARIO AD UNO SCONTRO USA-EUROPA IN QUESTO SENSO(1)HO DECISO SOMMARMI ALLA PROTESTA.

E CHIEDO RISPETTO E RICONOSCIMENTO PER L’EUROPA(NON MI RIFERISCO ADESSO ALL’UE):NON SI DIMENTICHI CHE IL WEB E’ UNA CREAZIONE INGLESE E CHE IL SUCCESSO DELLE GRANDI AZIENDE DELLE TELECOMUNICAZIONI E’ DOVUTO IN GRAN PARTE SE NON TUTTO,ALLA VISIONE DEL MONDO DELLA NUOVA ERA E I SUOI CONTRIBUTI SCIENTIFICI-TECNOLOGICI.LA NUOVA ERA NON VENGA SFRUTTTA NE POLITICAMENTE NE ECONOMICAMENTE DAI SUOI AVVERSARI SIA IN EUROPA CHE NEGLI STATI UNITI INSOMMA.
A MODO DI RIASSUNTO FINALE DIRO CHE NESSUNE DI QUESTE PROCEDURE CONTRO GOOGLE RIPORTATI SOPRA NUOCIONO NE L’ESSENZA DELLA NUOVA ERA NE LA AVANGUARDIA DI GOOGLE.

(1)MI SONO NEGATO ANCHE SIA AD UNA LOTTA DI MERCATI USA-EUROPA CHE AI TRATTATI DI LIBERO SCAMBIO PERCHE CONSIDERO CHE ESSISTE GIA UNA COLABORAZIONE USA-EUROPA,E NON SOLO IN MATERIA DI TELECOMUNICAZIONI, E PER TANTO QUELLI ACCORDI SOLO AVREBBERO COME RISULTATO SNATURALIZZARE E MINIMIZZARE L’INCIDENZA DELLA NUOVA ERA SIA NELLA SUA ESSENZA CHE NEI SUOI BENEFICI.

-PER CAPIRE TUTTO VEDI CUA,CLICCA:
http://cianciminotortoici.blogspot.com

 http://cianciminotortoici.blogspot.com/2011/05/ex-googleora-vi-racconto-la-nuova-era.html

http://cianciminotortoici.blogspot.com/2011/08/e-se-sta-cosa-la-dice-luigoogle.html

19 APRILE 2015:ATTUALIZAZIONE

15 APRILE 2015:L’UNIONE EUROPEA ATTACA LA NUOVA ERA
Économie
Bruxelles accuse Google d’abus de position dominante
LE MONDE ECONOMIE | 15.04.2015 à 07h54 ,Mis à jour le 15.04.2015 à 16h26 | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen)
Aux Etats-Unis, la Federal and Trade Commission a blanchi Google d’abus de position dominante, en 2013.
Aux  Etats-Units la Federal and Trade commision a blanchi Google d’abus de position dominante en 2013.AP/MARCIO JOSE SANCHEZ

Pour Google, c’est un coup dur. Après près de cinq ans d’enquête sur
un éventuel abus de position dominante, la Commission européenne a
finalement décidé, mercredi 15 avril, d’envoyer au groupe Internet
américain ce que l’on appelle dans le jargon bruxellois une
« communication de griefs », c’est-à-dire un acte d’accusation en bonne
et due forme. Est tout particulièrement visé le service « Google
shopping » et le fait que Google privilégie systématiquement ce service
par rapport aux autres services/comparateurs de prix en ligne
« Je crains que l’entreprise n’ait injustement avantagé son
propre service de comparaison de prix, en violation des règles de
l’Union européenne en matière d’ententes et d’abus de position
dominante »
, a déclaré, mercredi à mi-journée, la commissaire européenne en charge de la concurrence, la Danoise Margrete Vestager.
La Commission craint que les utilisateurs de Google « ne voient pas nécessairement les résultats les plus pertinents en réponse à leurs requêtes ».
La direction de Google a déclaré qu’elle a « hâte de discuter avec la Commission européenne ».
Si cette décision ne préjuge pas d’une sanction ultérieure contre
Google, c’est la première fois dans son histoire que le groupe américain
est reconnu coupable d’avoir enfreint la loi antitrust. De quoi écorner
un peu l’image de ce géant, fondé en 1998, dont la domination, sur la
recherche en ligne, le mobile, le traitement des données personnelles de
manière générale inquiète de plus en plus, surtout en Europe.
Aux Etats-Unis, la Federal Trade Commission (FTC), responsable des
questions de concurrence et de protection du consommateur, avait
finalement blanchi Google d’abus de position dominante, en 2013.
Lire aussi : Le Sénat américain va enquêter sur Google
Par ailleurs, Bruxelles a aussi annoncé, mercredi, avoir décidé de
lancer une enquête formelle sur d’éventuelles infractions à la loi
antitrust concernant Android, le système d’exploitation du groupe
américain. Une enquête informelle était en cours depuis des dépôts de
plainte, en 2013.

Deux mois pour se défendre

La trentaine de plaignants (dont Microsoft) qui accusent la
multinationale de mettre davantage en avant ses services que les leurs
dans les résultats de recherche des internautes sur son moteur et
réclamaient depuis longtemps la « manière forte » contre Google se
réjouit, logiquement, de cette décision.
« Cette notification des griefs représente un pas
significatif pour faire stopper les pratiques anticoncurrentielles de
Google, qui ont nui à l’innovation et au choix des consommateurs »,
avaient
d’ailleurs réagi, par avance, mardi 14 avril, une des associations de
plaignants, FairSearch Europe, dans l’attente de la confirmation de la
décision de Bruxelles.
A dater de l’envoi de cette notification, Google dispose de deux mois
(pouvant être prolongés d’un mois) pour préparer sa défense. Puis
pourrait suivre une audition organisée par la Commission. Cette dernière
ne rendra sa décision qu’à l’issue de ces étapes, c’est-à-dire au plus
tôt fin 2015.

Un accord négocié n’est pas à exclure

Le géant de l’Internet risque une amende pouvant aller jusqu’à 10 %
de son chiffre d’affaires mondial (soit plus de 6 milliards d’euros).
Mais ce ne serait pas le pire pour un groupe aussi riche (66 milliards
de dollars de chiffre d’affaires en 2014, soit 62 milliards d’euros,
pour 14 milliards de dollars de profits).
La Commission pourrait surtout lui imposer des actions « correctives » de nature à transformer son modèle économique. « Peut-être
une séparation radicale, dans le résultat des recherches, entre les
liens sponsorisés et les autres résultats de recherche »
, suggère un bon connaisseur bruxellois du dossier.
Bruxelles ira-t-elle jusqu’à recommander un démantèlement du géant
américain, comme l’ont demandé les eurodéputés, qui ont voté,
symboliquement, en novembre 2014, en faveur d’une scission entre le
moteur de recherche et les autres services commerciaux du groupe ? C’est
très peu probable, estime une source proche du dossier.
Mais il n’est pas non plus exclu que, malgré l’envoi de la
notification de griefs, Google et la Commission parviennent quand même à
un accord négocié, dans les mois qui viennent, sans sanction ni
imposition d’actions correctives, Google s’engageant à prendre des
mesures de son propre chef. Le groupe américain étant très soucieux de
préserver sa réputation en Europe, cette voie est tout à fait possible.
Lire aussi : Un nouveau front s’ouvre contre Google en France
David Wood, l’avocat d’Icomp, un syndicat de sociétés Web regroupant
des plaignants contre Google (dont la britannique Foundem et Microsoft),
reconnaît que cette option est plausible. Mais, estime-t-il, « le
fait d’envoyer une notification de griefs à Google donne quand même à la
Commission une bien meilleure position de négociation pour parvenir à
un accord sur des mesures correctives ».

Rupture dans l’approche européenne

La décision prise par Mme Vestager et les services de la
puissante « direction générale à la concurrence » de la Commission
européenne marque une rupture complète avec la politique suivie ces
quatre dernières années par Bruxelles vis-à-vis de Google.
Depuis l’ouverture formelle de l’enquête, en novembre 2010, à la
suite de trois plaintes initiales de petites sociétés (l’allemande Ciao,
la britannique Foundem et la française Ejustice.fr), Joaquin Almunia,
le prédécesseur de Mme Vestager, n’a jamais voulu en arriver à un acte d’accusation et a cherché, par trois fois, la voie de la conciliation.
Mais il a fini par renoncer à cette stratégie, sous la pression des
plaignants, de quelques politiques (notamment le ministre de l’économie
allemand Sigmar Gabriel et son homologue français Arnaud Montebourg,
montés en première ligne mi-2014) et d’autres commissaires au sein de la
précédente Commission Manuel Barroso (dont l’allemand Gunther
Oettinger, actuel commissaire chargé du numérique, très remonté alors
contre Google).
Tous estimaient que les améliorations proposées par le géant de
l’Internet à la Commission ne corrigeraient qu’à la marge, voire, au
contraire, aggraveraient la situation dominante de son moteur sur le
Web. Aujourd’hui, en Europe, plus de 80 % des recherches en ligne sont
toujours effectuées en utilisant Google.
Lire aussi : Opération séduction de Google France
La décision de Bruxelles concernant Google est sans précédent, depuis
les jugements européens concernant Microsoft, au début des années 2000,
qui a dû au total verser plus de 2 milliards d’euros d’amendes. Cela va
donner de l’eau au moulin de ceux qui disent que l’Europe « en veut » à
Google et plus généralement au high-tech américain.
L’acte d’accusation de la Commission s’ajoute en effet à une série,
ces dernières années, de réactions des Européens contre de nouveaux
« modèles économiques » : interdiction d’Uber dans certains pays,
instauration de taxes « anti-Google » en Allemagne et en Espagne,
enquêtes européennes sur des aides d’Etat illégales qui auraient
bénéficié à Apple (en Irlande) ou à Facebook (au Luxembourg)…
 Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Correspondante à Bruxelles

http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/04/15/bruxelles-accuse-google-d-abus-de-position-dominante_4615967_3234.html

REAZIONE:COSI COME AI TEMPI DI MONTI COMMISARIO ANTITRUST
DELL’UNIONE EUROPEA LA NUOVA ERA NON HA APOGGIATO LE SANZIONI A
MICROSOFT PERCHE ERA UN ATTACO ALLA NUOVA ERA PER SCOPI POLITICI,OGGI
NON APOGGIA QUESTA AZIONE DELL’UNIONE EUROPEA.ECCEDE LA PUNIZIONE DEL
MOTORE DI RICERCA E IL TRATTAMENTO DEI DATI PERSONALI PRETENDENDO ANCHE
PUNIRE GLI ASPETTI CONCETTUALI SCIENTIFICO-TECNICI E LA SUA VISIONE DEL
MONDO PER LA QUALE  GOOGLE E’ AVANGUARDIA ,QUANDO SI RIFERISCE A ABUSO
DI POSIZIONE DOMINANTE ANCHE “DEL MOBILE:”domination, sur la recherche
en ligne, le mobile, le traitement des données personnelles de manière
générale”
NO,SUL MOBILE GOOGLE E’ AVANGUARDIA E NON ABUSATORE DI UN BEL NIENTE.
OVVIAMENTE NELL’UE IL NEOLIBERALISMO NON POTEVA NON FARE SENTIRE LA SUA VOCE.
PER QUANTO RIGUARDA ALLE RICERCHE,LA PUBBLICITA E IL TRATAMENTO DEI
DATI PERSONALI NON RIGUARDANO DIRETTAMENTE ALLA NUOVA ERA NEI SUOI
ASPETTI CONCETTUALI MA ALLA PARTE AMMINISTRATIVA ED ECONOMICA E HO GIA
FATTO SAPERE LA MIA OPINIONE RIFIUTANDO LA RISOLUZIONE DELLA FTC USA NEL
2013 COSA CHE IL SENATO AMERICANO STA RIVEDENDO ATTUALMENTE ALLO STESSO
MODO CHE IL PARLAMENTO FRANCESE.
ANCHE SULLE TASSE MI SONO ESPRESSO A LUNGO CONSIDERANDO IL SISTEMA
IDEATO DAL SIGNOR SMITH CENTRALIZATO NELL’IRLANDA E BRUXELLES UNA
DEVIAZIONE DEI PROFITI DELLA NUOVA ERA VERSO IL NEOLIBERALISMO.
CONDANNO ANCHE CON VEEMENZA E NON CONDIVIDO QUESTO APOGGIO DI
MICROSOFT ALL’ATTACO DELL’UNIONE EUROPEA VERSO ANDROID:OLTRE A DIFENDERE
IL SUO MOTORE  DI RICERCA BING,FINIREBBE PER FAVORIRE GLI USURPATORI
DEL GOVERNO GOLPISTA ITALIANO DI RENZI E I SUOI TELEMACI CHE STANNO
PORTANDO AVANTI CON L’AUSPIZIO DI MICROSOFT LE INIZIATIVE DEL
“DIGITALVENEZIA” E ALTRE DEL GENERE.
.
-E COSI SU LA REPUBBLICA,TITOLARE:
L'antitrust Ue accusa Google   video   "Abuso di posizione dominante"
L’antitrust Ue accusa Google video “Abuso di posizione dominante”
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